2020 nous a forcé à baisser les armes et à se reclure dans nos chaumières.

En perdant nos libertés par la force d’un être microscopique que pouvait faire beaucoup de ravage, nos cœurs ont réalisé ce qu’on avait avant et dont ne profitait pas assez.

Pendant ce temps là, la nature, les animaux, eux, avaient repris leurs droits qu’on leur avait enlevés depuis des années, nous qui courent, jusqu’à en perdre de vue que tout être vivant mérite de profiter d’un monde dans lequel il fait bon vivre dans ce cycle de la vie à l’état naturel qui est si bien ficelé et intelligente.

Et qui, malheureusement, par la faute de l’empreinte écologique que notre société de course folle a laissée sur elle, est en train de la décimer à petit feu…

Pourquoi? Pour notre… bonheur de consommer? Sommes-nous au moins plus heureux que nos ancêtre qui n’avaient pas tout rapidement ? En voyant comment de gens souffrent dans leur quête perpétuelle d’en avoir toujours plus, j’en doute.

Mais la Monde est un tout.

Quand est-ce que l’Humain comprendra-t-il que sa soif de pouvoir ne le mènera que droit vers le gouffre qu’il fuit tant, ce néant sidéral dont nous avons tous peur et, au contraire, qu’en savons-nous?

Une force veille sur nous.

On la sent par moment ébranlé nos trippes, nous faire prendre des décisions qu’on ne comprend pas, qui dépassent notre pauvre raison d’Humain.

Maintenant nous nous sommes sorties la tête de l’eau, la pandémie est derrière nous: le virus a appris à vivre avec nous et nous avec lui mais…

Mais la roue de la performance est repartie et plus vite qu’avant 2020…

L’humain n’a donc pas compris le message que la planète lui envoyait pendant ces deux ans ?

Quelle sera la prochaine  étape, pour qu’il comprenne enfin…?

Il doit toujours être au bord du gouffre pour agir et encore là, ses carapaces « de recherche absolue du bonheur dans le matériel » va se braquer.

Oui, nous sommes un animal doté d’intelligence.

Mais l’Intelligence sans un sursaut d’humanité  est dévastatrice.

Nous devenons ainsi des bêtes assoiffées de pouvoir, de domination, de prestige… et pourquoi?

Pour avoir encore plus à jalouser.

Le cycle de la vie se brise sous les conséquences de notre soif de grandeur depuis des siècles et au prix de quoi? D’un soi-disant bonheur qu’on  cherche dans le sable d’illusions.

Alors que le vrai bonheur se trouve dans une lumière plus grande que nous qui nous a dirigés dans notre première demeure : notre mère.

Celle qui nous permettra de goûter au bonheur de cette vie.

Mais que des enfants qui ne se sont pas encore laissés obscurcir par cette roue qui tourne sans fin ou certains plus âgées qui se sont éveillées tentent de tenir le fort, souvent inconsciemment.

En tant que gardien de la lumière, ils en sont ses témoins et leur diffuseur.

Oui, elle est constituée d’Épreuves, de haut et de bas, mais elle est tellement riche, pleine de surprises que je veux la dévorer et suivre le « flow » pour surfer sur elle et y trouver ses trésors : la rencontre de plusieurs anges humains, par qui cette lumière réussit à traverser l’épais brouillard de cette société qui saigne et mette un sursaut de brume qui voile la lumière au regard des gens.

D’Amélie, le Petit Colibri qui butine d’un côté et de l’autre, à la recherche des trésors du monde, mais en gardant à l’esprit que le plus grand des cadeaux se cachent en nous et entre les coeurs des Êtres Vivants.